Empreintes de pas dans la neige, Flocons descendant des nuages. Je sens dans ta bouche ma verge, La pudeur rougit mon visage. Caresses du vent sur la plaine, La houle, au dessus, se déchaîne. Avale donc ce que je sème : La liqueur d'ô combien je t'aime. La pluie bat son court lentement, L'orage s'installe en tonnant. Je te sens, t'embrasse et te mord, Tes cris achèvent le décors. Et la lune, enfin, apparaît, La neige à fondu sous l'averse, Et toi, dans la rue, tu...